
Juliette Berguet
Fondatrice Kinju
Juliette Berguet, auto-entrepreneuse inspirante et créatrice de la boutique-atelier
Orybany à Bruxelles, fait partie de ces 11.000 femmes qui, chaque année, se retrouvent confrontées à un cancer du sein en Belgique. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que cette battante a réussi à transformer l’épreuve de la maladie en une magnifique source d’inspiration. Elle lance en effet deux projets, dans la foulée de sa rémission : Baob, série de workshops itinérants destinés aux personnes touchées par la maladie (mais pas que), et KinJu Brussels, une marque d’accessoires dont l’objectif est de sensibiliser à la prévention du cancer du sein.
La racine du nom KinJu vient du japonais : kintsugi. Le kintsugi est une méthode de réparation des porcelaines et des céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée de poudre d’or, rendant l’objet ainsi réparé encore plus beau et précieux. L’analogie aux combattants de maladies, telles le cancer, et leur reconstruction est une évidence. Les accessoires créés par la marque KinJu Brussels sont des pièces utiles et originales dont l’objectif est de favoriser une reconstruction positive des personnes atteintes par un cancer tout en soutenant la recherche et la lutte contre le cancer du sein puisque 5% des ventes sont reversés à la fondation Fournier Majoie.
Les accessoires de la marque Kinju Brussels sont des pièces utiles et originales créées par série de 7 (comme les 7 jours de la semaine) et dont l’objectif est de favoriser une reconstruction positive des personnes atteintes par un cancer en valorisant leur personnalité unique, tout en soutenant la recherche et la lutte
contre le cancer du sein puisque 5% des ventes sont reversés à la fondation Fournier Majoie. En plus de l’aspect thérapeutique et de bienfaisance, cette gamme d’accessoires s’inscrit également dans un projet défendant des valeurs humaines, sociétales et environnementales. Les accessoires cadrent ainsi
dans la philosophie de la production zéro déchet et la théorie et thérapie des 7 R1, puisqu’ils sont 100% faits main à partir de 100% de matières upcyclées. La marque prône également une production 100% bruxelloise sur trame de projet de réinsertion socio-professionnelle et de soutien à l’entrepreneuriat au féminin.
